Dans les contre-allées du folk-pop
new-yorkais façon Suzanne Vega,
Keren Ann glisse comme si elle était chez elle, ose ça et là des
harmonies et des arrangements hérités des Beatles, de Joni Mitchell
ou de Neil Young, étale en douceur sa culture transversale (la
musique kletzmer autant que Françoise Hardy) sans jamais forcer
sa nature discrète.
Extrait des Inrockuptibles du 6/11/2000
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